La montée vers le mont Igman est périlleuse. Des arbres sont tombés sur la piste, empêchant le camion de Paulo d'avancer. Les hommes déblaient au fur et à mesure. Plus loin, les soldats font de même en redescendant.
Alain et Elodie se sont posé près des maisons d'enfants. Accueillis par Semra, une jeune mère de famille du village, ils sont emmenés dans leur chambre. Semra, trentenaire blonde aux yeux bleus sonde le regard d'Alain. Ces femmes ne voient quasiment pas d'hommes dans ce village et le moindre “mâle” est regardé avec avidité. Elodie s'enferme avec son mari, presque jalouse du regard de Semra. Elle l'embrasse longuement, il ne peut s'empêcher de la coucher sur le lit et ils font l'amour comme au premier jour. Cette jalousie a décuplé les envies d'Elodie. Elle se déchaîne jusqu'au dernier souffle…..
Dans les ruines de béton, andré a de la fièvre, beaucoup de fièvre. Mira ne sait que faire. Elle s'est dévêtie, elle a mis son pull sur André pour le réchauffer. Elle se blotti contre lui. Marie a les yeux hagards, elle ne comprend plus rien. Que fait elle ici aves ces étrangers…non, il lui semble connaître l'homme…elle ne sait plus…Ou est elle? Elle ne sait plus rien.
Paulo se dit qu'il est impossible de trouver Marie et André dans une aussi vaste montagne. Ils ne sont pas seuls à chercher, certes mais comment retrouver sa fiancée si elle est encore vivante…Ils ont in poste de radio, emetteur récepteur, qui les renseigne sur les recherches en cours.
Elodie se refait une petite beauté. Elle doit aller avec Alain voir les enfants qui sont parait il traumatisés par la tempête qui vient de s'abattre sue ce secteur. Leur départ pour les recherches est prévue pour le lendemain à l'aube, suivant le temps.
Le récepteur de Paulo crache ses nouvelles. Le trio a été retrouvé par des sauveteurs hongrois dans l'ancien complexe hôtelier des jeux. Paulo crie sa joie. Celle ci sera de courte durée…
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